bio

Jean-Martial Dubois voit le jour en 1969. Année excentrique !

Il publie ses premières pages à 15 ans dans le « Gessien » où il raconte, en bandes dessinées, l’histoire de son quartier et des alentours. A l’âge de 17 ans, il quitte le Lycée pour les Arts Décoratifs de Genève.
L’illustration, la BD, le scénario et la peinture vont être son quotidien pendant 5 années d’affilées. Un mensuel de BD suisse roman (dans l’esprit de Fluide Glacial) va le premier mesurer son talent en lui consacrant 4 pages par mois.

A 23 ans, il quitte Genève pour Lyon et commence sa carrière freelance.
Il se fait vite repérer. Son style « peinture à la Walt Disney » va taper dans l’œil du chef déco du théâtre de marionnettes de Guignol où il va pendant 3 années peindre les toiles de fond, dessiner et construire les décors et accessoires.

A 26 ans, il dispose d’un atelier sur les pentes de la Croix Rousse et de 4 casquettes : Peintre – Décorateur – Caricaturiste – Enseignant.
Son univers se tisse progressivement. Il s’intéresse de près à Norman Rockwell, Edward Hopper, au Fauvisme… et manifestement ses ambiances hautes en couleurs et ses paysages urbains tracent sa voix.

Il le prouve par deux grandes expositions personnelles :
– « Sur les toits la nuit » : peintures à l’huile et acryliques représentant des quartiers, des petits coins de Lyon, vus d’en haut la nuit (Galerie de l’impasse – Lyon 2è)
– Une série de peintures à vocation poétique sur les marionnettes (théâtre municipal de Guignol de Lyon)
Entre les prestations de caricatures pour les soirées d’entreprises, les cours de dessin /peinture, les commandes de décors et sa création personnelle, JMD n’a pas le temps de s’ennuyer.
Mais Paris le titille ! Aussi, à 31 ans, sans un sou en poche, il monte à la capitale. Déjà Paris tremble…
Cette fois, il quitte sa salopette de généraliste et enfile sa blouse de spécialiste. Il conserve le dessin (caricature, BD) et l’enseignement comme activités premières.
Il commence à livrer des dessins d’humour à la presse (Audiovision, Megalopolis, etc.) et se fait de nouveau remarquer pour son sens aigu de la dérision.

A 36 ans, il publie un petit recueil, « Dessins d’humeur », une compilation à la fois cynique, poétique et caustique. Deux ans plus tard, en 2008, il gagne le prix « Cognac » à la biennale internationale du dessin d’humour de Jonsac. Joli coup.

A 39 ans, la galerie Carré d’Artistes (16, rue Yvonne le Tac – 75018 Paris) expose en continu ses petites illustrations sur Paris à la tombée de la nuit. Un véritable succès, 150 ventes en deux ans…

Depuis 2010, Jean-Martial Dubois enseigne la BD au Musée du Louvre et, la même année, il rentre, via une expo collective, dans une des Mecque de la BD à Paris, la Galerie Daniel Maghen (46, quai des grands augustins). Depuis, il fait partie de la « maison ».

En 2011, le Moulin Rouge utilise une de ses illustrations pour sa communication (50 000 cartes postales distribuées dans le monde entier).
Dernier événement important : septembre 2012, avec une exposition personnelle à la galerie Daniel Maghen.

Cliquer ici pour télécharger l’article de presse sur Jean Martial Dubois paru dans la revue BCS News en novembre 2013

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